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La Palestine juive au XVIIe siècle ! "PALESTINA - Voyage en Palestine" de Hadrian Reland, écrit en 1696 et essentiel sur les droits d'Israël en Palestine. A une époque où il est de bon ton de remettre en question la légitimité juive en Israël, la découverte d’un ouvrage historique capital sur cette question, écrit au XVIIè siècle, apporte un éclairage de la plus haute importance. Un exemple datant de 1695 : la "si palestinienne ville de Ramallah" avait un nom purement... Hébreu : "Béteilé = maison de D.ieu" !! (Ouvrage consultable à l’Université de Haïfa.) La Palestine de 1695 tirée par les Juifs "PALESTINA - Voyage en Palestine", édité en 1714 aux Ed. Brodelet, est le titre d’une œuvre en Latin de 1695 de Hadrian Reland, géographe, philologue et prof. de philo. hollandais, l’un des 1ers orientalistes, pratiquant hébreu, arabe et grec anciens. Cette histoire commence de façon anecdotique, dans un rayon d’une librairie de Budapest, dont une partie concerne le judaïsme : d’anciennes reliques, usées par le temps mais de grande valeur issues (ou volées) d’anciennes synagogues. En 1695, l'auteur est envoyé en voyage d’études en Palestine d’alors, pour recenser 2500 lieux apparaissant dans la Bible ou la Michna dont il mentionne pour chaque nom hébraïque, le verset dont il est issu, avec son équivalent en Latin-Romain ou Grec ancien. Son recensement montre que l'Israël du XVIIème est très peu peuplée, avec la majorité de ses habitants dans les villes tirés par les présences juives locales : Jérusalem, Acco (Acre), Tsfat (Safed), Yafo (Jaffa), Tveria (Tibériade) et Aza (Gaza). Il conclut à une présence dominante de Juifs en Israël à la fin du 17ème ! Le Mythe d'une Palestine musulmane ● Aucune localité d’alors ne propose de nom ou de source arabe. ● La grande majorité de ses lieux possède un nom hébreu, quasi aucun de noms arabes : ni Haïfa, ni Yafo, ni Naplouse (Shehem), ni Gaza, ni Djénine ● Encore moins les plus tradifs Ramallah, Al Halil (Hébron) ou Al Qods (Jérusalem) ● En 1696, les villes étaient surtout composées de Juifs, sauf Naplouse (Chekhem) ou Nazareth, en Galilée (700 Chrétiens). ● A Jérusalem, plus de 5000 habitants, quasi-tous Juifs, les autres, Chrétiens. Reland y évoque à peine quelques familles musulmanes isolées, d’ouvriers temporaires. ● A Gaza, 550 non musulmans, (50% Juifs - 50% Chrétiens) : les Juifs étaient spécialisés dans l’agriculture : vigne, olives, blé ; les Chrétiens s’occupant de commerce & transport des produits de la région ● Tibériade et Safed étaient des localités juives dont la pêche du Lac de Tibériade constituait le principal emploi. |
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